Lettera di Mariapia Maoloni - SOS Antiplagio

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Lettera di Mariapia Maoloni

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Cher Maître,

J’ai pris connaissance de votre courriel du 27/02/2013 et me permets d’y répondre.
Tout d’abord, je tiens à vous préciser que je ne suis pas atteinte de crétinisme et que, vous comme moi et tant d’autres personnes connaissons très bien mon dossier et surtout la situation de danger que mes enfants encourent depuis 2004, à cause et SEULEMENT à cause de l’attitude, des décisions prises et des dispositions mises en place par le tribunal de Mons/Belgique et ses auxiliaires judicio-institutionnels !!
Le danger ne vient donc pas de moi (inutile de le préciser d’ailleurs !)  mais du système judiciaire montois complice des actions criminelles des antonini et de leurs pervers acolytes siégeant dans l’élite du pays !
Mes enfants ont été rapatriées ILLEGALEMENT en Belgique en 2007 et livrées comme de la chair à pâté au contexte paternel par le tribunal de Mons, alors qu’une instruction pénale belge pour viols sur mineurs était toujours ouverte à cette époque contre le père (rocco antonini) et le grand-père paternel (roberto antonini) ; et alors qu’ACTUELLEMENT, un procès pénal pour viols sur mineurs et prostitution de mineurs est toujours en cours, en Italie, pour roberto antonini.

CECI EST VERITABLEMENT SCANDALEUX ET OUTREPASSE TOUTES LES CONVENTIONS EUROPEENNES QUI PROTEGENT ET RESPECTENT LES DROITS DES ENFANTS !!!

Actuellement, mes deux enfants sont TOUJOURS entre les mains de leurs abuseurs et croyez-moi, Maître, que je continuerai à faire connaître cette ignominie au monde entier ; et que RIEN NE M’ARRETERA tant que les droits de mes enfants, ainsi que les miens et ceux de ma famille seront bafoués, en toute impunité,  par toute la magistrature et auxiliaires de justice de Mons/belgique !

Je reviens donc à votre courriel d’hier…

Inutile de se leurrer mais TOUT, je dis bien TOUT était stratégiquement PLANIFIE’ !!!

Inutile de « protéger » la cour d’appel, Maître,  car elle se protège lâchement toute seule !

Nous sommes en attente de la décision de la cour d’appel déjà depuis 2 mois, suite à l’audience qui a eu lieu le 19/12/2012.  A votre avis, pour quelles raisons ????

Mais ceci est pour permettre au substitut du procureur du roi de Mons, sandrine dehalu,  et à son machiavélique bras droit, annie harvengt, juge au tribunal de la jeunesse de Mons, d’accélérer les temps afin de fixer une audience dans un délai très bref , ceci AVANT même que la cour d’appel emette son arrêt !

Et comme par « hasard », l’audience devant le tribunal de la jeunesse (juge harvengt) a été fixée TRES RAPIDEMENT, déjà pour le 26/03/2013 !!  

Les conditions afin de voir appliquer l’article 38 ne sont pas réunies. C’est ce que vous écrivez Maître.  Et je suis tout à fait d’accord avec vous !  Mais devant le juge harvengt et le procureur dehalu, vous pourriez débattre de tous les arguments légitimement fondés et leur expliquer avec la meilleure éloquence possible que rien ne justifie l’application de l’article 38…. Cela ne servira à RIEN et rien ne fera changer leur décision commune, que déjà nous connaissons par ailleurs, de mettre en place l’article 38 !
Les dés sont déjà au préalable lancés (pour ne pas dire « truqués »),  et donc les résultats sont déjà connus AVANT même que cette audience du 26/03/ 2013 ait lieu !
Comme je l’avais déjà expliqué dans mes emails précédents, dans le cadre de mon affaire,  l’article 38 n’est pas du tout une mesure qui protège mes enfants mais bien au contraire,  qui « protège »  les criminels pédophiles et les membres du réseau pédo-criminel (y compris les membres du système judiciaire montois qui, par leurs décisions  vont à l’encontre des intérêts de mes enfants et se rendent donc complices et protecteurs de ces criminels !)
En effet, l’article 38 est une façon, pour les membres judicio-institutionnels de Mons, de maintenir l’emprise et le contrôle sur mes enfants et surtout d’entraver la manifestation de la vérité sur les abus et viols commis sur mes enfants par les antonini et X.  Ceci en privant mes deux enfants de tout contact avec moi, leur maman et toute la branche maternelle.  De cette façon, ces criminels maintiennent et continuent de maintenir mes enfants dans un état d’abandon abyssal en les isolant VOLONTAIREMENT de  l’amour maternel et de cette façon, en provoquant chez elles, un sentiment profond de désespoir et d’abandon total auprès de leurs bourreaux violeurs !  Ainsi, mes enfants vivant CONTINUELLEMENT et au quotidien, dans la peur, les violences et les menaces provoquées par leurs abuseurs père et grand-père, celles-ci ne représentent plus un danger pour les antonini car il est peu probable que, de nouveau, elles s’expriment un jour sur les viols qu’elles subissent et que, sans doute, elles continuent à subir actuellement !!!!
Mes enfants se trouvent depuis presque 6 ANS SCANDALEUSEMENT ET INHUMAINEMENT PRIVEES DE LEUR MAMAN ET DE TOUTE LA BRANCHE MATERNELLE.  Le tribunal de Mons  continue, SANS VERGOGNE ET AU DETRIMENT DE LA VIE ET DU BIEN-ETRE DE MES ENFANTS, à protéger les antonini pédophiles et leurs complices appartenant au réseau pédo-criminel.

Dons, je le répète : TOUT EST BIEN PLANIFIE’ AU SEIN DU TRIBUNAL DE MONS !

CQFD !

Il y a bien longtemps que je ne crois plus en une seule décision judiciaire BELGE qui irait dans le sens de la défense des intérêts et des droits de mes enfants !  Alors, vous devez sans doute vous dire pour quelle raison je continue encore à me battre ?
Et bien, c’est très simple, Maitre !  Premièrement, parce que  JE RESTE ET JE SUIS LA MAMAN DE FIONA ET DE MILLA et qu’en tant que telle, je continuerai à me battre pour elles jusqu’à mon dernier souffle.  Car un jour, mes filles sauront tout ce que j’ai fait pour elles et que JAMAIS, je ne les ai abandonnées ! Et deuxièmement, parce que l’opinion publique doit SAVOIR comment les criminels et les membres du réseau qui les protègent fonctionnent surtout au niveau du judiciaire ! Je ne suis pas la seule à vivre cet enfer de la pédo-criminalité organisée.  Bien d’autres dossiers impliquant des viols et prostitutions de mineurs en Belgique et dans d’autres pays européens, sont similaires à mon affaire et aboutissent systématiquement à des voies de garage dans les décisions judiciaires, portant ainsi atteinte à l’intégrité des enfants puisque ces derniers sont automatiquement placés et confiés à leurs bourreaux violeurs et donc séparés de leurs parents protecteurs.
Revenant à l’audience du 26/03/2013, je vous demande de bien vouloir m’envoyer, au moins une semaine avant la date d’audience,  vos conclusions écrites.
Je vous demanderai également de demander le renvoi de cette audience, en invoquant les motifs suivants :

-          Nous attendons la décision de la cour d’appel, suite à l’audience du 19/12/2013.

-          La cour d’appel s’est déjà prononcée et avait révoqué l’article 38 ;

-          Nous devons prendre connaissance du contenu des rapports de l’espace-rencontre et des rapports des services sociaux de Ancona, sur le déroulement des contacts entre mes enfants, ma famille et moi-même.
En effet, le contenu des rapports de Ancona sera important pour démontrer l’harmonie et l’amour dans les échanges entre mes enfants et moi-même.

Il est donc INDISPENSABLE de prendre connaissance de ces rapports !
Le prétendu « nouvel élément » utilisé par la dehalu pour justifier une nouvelle saisine du tribunal de la jeunesse sur pied de l’article 38 et stipuler que mes enfants sont en « danger »,  est sans fondement puisqu’il traite d’une mise au point entre adultes (entre van trimpont (espace-rencontre Mons) et moi-même) et n’implique en rien mes enfants !  
Pour pouvoir défendre nos arguments, il est évident que nous devons absolument avoir en main ces rapports (espace-rencontre et ceux de Ancona) !
Il serait risqué, pour ne pas dire suicidaire,  de se présenter à cette audience SANS ces rapports !!!
Par conséquent et pour ma défense,  je vous demande d’accélérer vos démarches afin d’être en possession de ces rapports (Ancona et espace-rencontre), AVANT l’audience du 26/03/13.
Un autre point fondamental que je souhaite vous faire part est relatif à mes enfants et à leur intervention durant les audiences.
Depuis le début, l’opinion de mes enfants a toujours été niée ; ceci va à l’encontre des conventions européennes sur le respect des droits des enfants.
Etant donné que Fiona aura en avril, 14 ans et Milla, en juin, 10 ans, je souhaite que mes enfants INTERVIENNENT PERSONNELLEMENT (et non par l’intermédiaire de leur avocat bidon – qui, précisons-le, n’a jamais rencontré une seule fois, mes enfants !!!!!) et donnent leur avis et opinions sur les décisions qui seront prises dorénavant, pour elles, dans TOUTES LES AUDIENCES QUI SERONT FIXEES A PARTIR D’AUJOURD’HUI !



Mes enfants ont LE DROIT d’ETRE ENTENDUES ET DE DONNER LEURS OPINIONS SUR TOUTES LES DECISIONS DE JUSTICE QUI LES CONCERNENT !
Pour rappel, je cite quelques lois à ce sujet :
"L’audition des mineurs : l’enfant peut être entendu …
En référence à la Convention Internationale des Droits de l’Enfant (Art. 9) transcrite dans
les lois belges (Art. 931 du Code judiciaire) le droit est donné à l’enfant d’être entendu.
Au-delà de 15 ans, il peut être entendu sous serment. En dessous de cet âge, il ne prête
pas serment et ses déclarations peuvent servir à titre de simple renseignement.
Dans toutes les procédures qui le concernent, le mineur capable de discernement peut, à
sa demande ou sur décision du juge, être entendu par ce dernier ou une personne
désignée, sans la présence des parents. Cette décision n’est pas susceptible d’appel.
Selon les cas de figure, cette procédure peut se faire soit via la Justice de paix, le Tribunal
de référé ou le Tribunal de la jeunesse.
Au sein du Tribunal de la jeunesse, le juge doit convoquer le mineur de douze ans au
moins pour l’auditionner en cas de litige entre les deux parents qui exercent l’autorité
parentale. (Art. 56 bis du la loi sur la protection de la jeunesse)



La Convention relative aux droits de l’enfant :

"Article 10 de la Convention :  Le droit de s’exprimer et de donner son avis ;
Article 12 de la Convention : Tu as droit à la liberté d’opinion (donner un avis)
1) Dès que tu en es capable, tu as le droit de donner ton avis à propos de tout ce qui te concerne.
2) Les États doivent te garantir (ils sont obligés) ce droit.
Article 13 de la Convention : Tu as droit à la liberté d’expression
1) Tu as le droit à la liberté d’expression, tu as le droit de recevoir et répandre des informations.
2) Ils y a cependant des limites à ta liberté d’expression :
- tu dois respecter les libertés et les droits des autres,
- tu ne peux pas mettre la société en danger"
Priver abusivement un enfant d’un de ses parents constitue une infraction pénale de maltraitance psychologique habituelle sur mineur, susceptible de recevoir une qualification criminelle dans les cas les plus graves (art.222-14 du code pénal).
C’est également une violation de la charte des Droits de l’homme et de la Convention Internationale des Droits de l’Enfant. Le phénomène d’Aliénation Parentale a été reconnu par la Cour Européenne des Droits de l’Homme.
Elles conduisent à des souffrances partagées par les enfants en premier lieu, également les deux parents en conflits mais également les familles collatérales. Elles aboutissent à un coût inestimable pour la société (justice, services sociaux, psychiatrie) et qui se poursuit dans la vie adulte de l’enfant traumatisé.
Depuis 2007, en me privant de mes enfants et en les privant de tout contact avec la branche maternelle, le tribunal de Mons/Belgique commet donc une infraction pénale grave de maltraitance psychologique sur mes filles et viole donc, le code pénal (art 222-14), la charte des Droits de l’homme et la Convention internationale des Droits de l’enfant !
En résumé, pourriez-vous s’il vous plait, me transmettre dans un délai bref, les rapports de l’espace-rencontre de Mons et ceux des services sociaux de Ancona ; ainsi que vos conclusions écrites que vous déposerez à l’audience du 26/03/2013 ?

Je vous en remercie et vous prie d’agréer, Cher Maître, l’expression de mes salutations distinguées.

MAOLONI Maria-Pia

http://fionaetmilla.blogspot.com/

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Date: Wed, 27 Feb 2013 09:22:19 +0000
From: b
Subject: Re: MAOLONI MP : CITATION JEUNESSE- ART 38 / AUDIENCE DU 26/03/2013 TRIB JEUNESSE A MONS
To: mariapia@live.fr


Chère Madame,


Je prends note de la fixation de cette affaire à l'audience du Tribunal de la Jeunesse de Mons (art.38) du 26 mars prochain.
Cette (nouvelle) procédure ne m'étonne pas réellement et ce eu égard à la situation de blocage actuelle (par rapport à l'espace rencontre).
Il appartiendra au Tribunal de la Jeunesse de statuer quant au bien fondé de cette démarche du Parquet... et s'il echet à la Cour d'Appel.
Tant en fait qu'en droit, il n'est pas possible d'empêcher le Parquet d'introduire une telle procédure et nous devrons faire valoir notre point de vue et plus particulièrement la teneur de l'Arrêt rendu par la Cour le 12 décembre.
Je présume que pour sa part le Parquet va essayer de justifier cette demande par l'apparition d'un élément nouveau (position de l'espace rencontre).   Seul un "élément nouveau" pourrait jusitifier cette nouvelle saisine du tribunal sur pied de l'article 38.
Pour éviter cette (nouvelle) mesure protectionnelle, il y aura donc lieu de mettre en exergue l'absence totale de coopération du SPJ, le fait que la Cour d'Appel a bien compris la situation, l'absence totale de mise en danger des enfants et donc le fait que les conditions afin de voir appliquer l'article 38 ne sont pas réunies.
Il est pour le surplus envisageable que la Cour d'Appel ait rendu effectivement un Arrêt (et fixer une nouvelle audience) d'ici l'audience du 26 mars, suite à la position déclarée de l'espace rencontre.   Je ne puis toutefois du préjuger du sens de l'Arrêt à intervenir.    Lors de l'audience du 19 décembre, le Président avait invité Madame VAN TRIMPONT à réfléchir et à faire connaître la position de ses services afin que la Cour puisse également réagir adéquatement.
J'ignorais totalement que Madame L...... avait adressé un courrier au Parquet Général.
Tant l'attente d'une réaction de l'espace rencontre (enfin connue) que ledit courrier pourraient expliquer (?) le délai qui s'est écoulé depuis l'audience du 19 décembre et le fait que nous soyons en attente d'un nouvel Arrêt.   En effet, il serait difficile de reprocher à la Cour de ne pas avoir conscience du caractère délicat de l'affaire, de son importance, de la gravité de la situation ...et ce au regard des rétroactes (et notamment des Arrêts qui sont intervenus tels que celui du 12 décembre, l'investissement de la Cour afin de faciliter les contacts avec les autorités italiennes, le fait d'avoir convoqué en audience et entendu Mme Van trimpont, ...).
Je ne manquerai pas de revenir spontanément vers vous.

Sentiments dévoués,

B
Avocat

De : MARIA-PIA MAOLONI <mariapia@live.fr>
À : MAITRE B
Envoyé le : Mardi 26 février 2013 19h09
Objet : MAOLONI MP : CITATION JEUNESSE- ART 38 / AUDIENCE DU 26/03/2013 TRIB JEUNESSE A MON

Cher Maitre,


En fichiers-joints,  vous trouverez la nouvelle citation que j'ai reçue, ce jour, pour l'audience fixée le 26/03/2013 à 09H00 devant le tribunal jeunesse de Mons / mesure protectionnelle - article 38.
Comme vous le savez, la Cour d'appel a révoqué récemment la mesure protectionnelle. La substitut du procureur du roi dehalu, ayant fait une insoutenable indigestion de cette décision, celle-ci s'est donc empréssée de percer, une fois de plus,  son venin en fixant cette audience afin de réinstaurer l'article 38.  Il est évident que sans cette mesure protectionnelle, son pouvoir supreme (ou plutot son abus de pouvoir abject) s'en trouve limité puisqu'elle n'a plus ses instruments de travail (tribunal de la jeunesse et SPJ) à son humble service !!!
Quel est votre avis sur ce qui précède et surtout quelles sont, selon vous, les possibilités que nous ayons afin d'éviter que cette mesure protectionnelle ne soit de nouveau opérative ?
Dans l'attente de vous lire, je vous prie d'agréer, Cher Maitre, l'expression de mes sentiments distingués.

MAOLONI Maria-Pia


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